Hatsuharu Nowerell [FINIIII]

DrrriiiiinnnngggBOUM !
Le soleil commençait seulement à se lever paresseusement sur Blue Side. Leurs quelques froid rayons du matin commençait à peine éclairer le ville. Les rues étaient désertes. Quelques restes de fiesta du soir étaient éparpillés autour des discothèques maintenant vides. Quelques promeneurs matinaux ou collés marchaient dans la rue d’un pas endormi. Le silence régnait hors mit ceux des piaillements des oiseaux bien plus matinaux que les humains.

Ce Samedi matin était vraiment calme. Il devait être autour de 6 h 30 quand nu bruit fendit le silence. C’était un réveil. Qui pouvait bien mettre un réveil le Samedi matin ? Surtout si tôt. Un bruit sourd suivit d’un cris aigu interrompit la sonnerie. Maintenant, plus du doute. La seule personne qui pouvait faire autant de vacarme ne pouvait être que Kennedy.

Kennedy était tranquillement en train de faire un beau rêve bleu (xD) lorsqu’un bruit strident la réveilla. Elle sursauta, frappa violement l’objet qui venait d’assassiner son magnifique songe et le balança à travers sa chambre. Elle tourna le dos au réveil d’un air boudeur et essaya de se rendormir : aucun effet. Elle se tourna d’un côté de l’autre, mais rien n’y faisait. Elle se leva tout d’un coup et marcha jusqu’aux toilettes. Vous connaissez sûrement cette manie que d’avoir envie d’aller aux toilettes au moment de s’endormir, juste pour vous en empêcher. Maintenant, c’était sûr : elle n’arrivera plus à s’endormir. Une fois sa petite commission finie, elle retourna dans sa chambre et commença à râler toute seule. Bien sûr, les insultes et autres méchancetés fusèrent dans son esprit. ^^

*Et mmeerde, P*taainn, pourquoi j’ai oublié d’étzeindre le réveil hier soir ? Je suis vraiment c**ne ! Je n’ai même pas trop bu hier soir ! Pourquoi c’est toujours les jours de cours que les réveils tombent en panne ? Juste pour faire chier le monde ! De toute façon ils ont étaient inventés pour faire’ chier le monde !*

Il s’écrasa sur son lit et commença à frapper férocement l’oreiller. Une fois s’être défoulée, elle se mit sur le dos et respira profondément. Il fallait qu’elle se calme. Elle recommença à penser, mais cette fois des choses positive.

*Bon aller ! Ce n’est pas quand on a chié au froc qu’on doit serrer les fesses. Faut voir le bon côté des choses. Si elle s’est réveillée si tôt, c’Est que son destin le voulait. *

" Mais oui c’est ça ! Si mon réveil m’a réveillé si tôt, c’est que je dois me réveiller tôt, quelqu’un ou quelque chose doit me voir ce matin tôt ! "

Sans s’en rendre compte, elle venait de crier un peu fort ses dernières paroles. Elle se tut et espéra ne pas voir réveillé ses charmantes colocataires. Elle se leva, prit un grande inspiration bomba le torse, prit la direction de la salle de bain d’nu pas énergique et … trébucha dans le fil du réveil qu’elle avait balancé un peu plus tôt au travers de la pièce. Elle releva la tête, faillit recommencer à s’énerver contre ce tout de même p*tain de réveil, mais elle se ressaisit. Bon c’est pas grave, Kennedy, on se relève et on reprend : elle se releva, prit un grande inspiration, bomba le torse, prit la direction de la salle de bain et… prit une bonne douche revigorante.

Une fois la douche terminée et Kennedy habillée, elle déjeuna tranquillement. Ses autres colocataires dormaient encore. Pas étonnant : il devait être 7 h 30 ! Elle termina son verre de jus d’orange et alla dans le canapé. Tout était toujours aussi calme, dehors. Elle alluma la télé et regarda les dessins animés pour enfant qui passaient à cette heure là, tel que bob l’éponge ou Hamtaro (comme par hasard xD). Elle passa une bonne demi heure devant la télé, totalement hypnotisée par ces séries débiles. Elle se ressaisit à la fin d’Hamtaro, après une page de pub. Stop, il fallait qu’elle bouge, sinon elle allait exploser.

Elle se leva d’un bond, attrapa son sac à main, ouvrit la porte et partit loin de ce petit appartement trop oppressant. Ce n’était vraiment pas dans ses habitudes de se lever si tôt. Elle ne savait pas quoi faire pour s’occuper. Elle commença à errer dans els rues, regardant les maisons et les jardins dont l’herbe était fraîchement humide par la rosée du matin. Elle essaya de réfléchir : si elle était quelqu’un qui faisait exprès de se lever super tôt, que ferait-elle ? Mais bien sûr ! Si elle devait se lever si tôt, elle le ferait pour els soldes au centre commercial. Ca y est, elle avait trouvé l’idée pour s’occuper toute une grande partie de la matinée, voir même la journée.

D’habitude, elle prenait la voiture pour aller au centre commercial. Ainsi, elle ne mettait q’une petite dizaine de minutes. Mais ce jour là n’était vraiment pas comme els autres. Elle avait vraiment la flemme de retourner à l’appart’ pour aller chercher sa voiture. Elle entama donc une marche de 30 minutes pour aller à son cher centre commercial. Il n’était que 8 h, désormais. Mais les magasins n’ouvraient qu’à 8 h 30. Donc le temps de marche à pied l’arrangeait plutôt bien. En plus, rien de tel q’une demi-heure de marche pour être en forme toute la journée.

Elle marchait d’un pas énergique lorsqu’elle arriva devant le centre commercial. Il devait juste venir d’ouvrir car quelques rideaux de fers étaient encore baissés devant les vitrines. Elle entra tranquillement. Il devait une avoir 5 ou 6 personnes. Vraiment rien comparé aux foules qu’il y avait le samedi après-midi. Elle marcha donc, flânant devant les devantures, rentra un peu dans quelques boutiques… mais malheureusement, ses boutiques préférés étaient encore fermées. Et puis il lui manquait une bonne amie pour l’accompagnait. Mais malheureusement, toutes ses amies devaient encore dormir. Pour rien au monde elle ne voulait les embêter juste pour aller au centre commercial à 8h30 du mat’.

Elle passa devant une papeterie et devant un petit cheval mécanique. Vous savez, els petits chevaux qui bouges, lorsque vous mette une pièce pour monter dessus. Elle fit quelques pas en arrière et fixa l’objet. Depuis combine de temps n’était-elle pas montée sur ce genre de petits engins ? Oulalala, ou moins nue bonne dizaine d’année. Pourtant elle se rappelait aisément que lorsqu’elle allait faire les boutiques avec ses aprents, elle raffolait de ses petits manèges et son père lui en payant toujours au moins un tour. Son père… Maintenant, il n’était plus là pour lui en payer.

Elle s’avança d’un pas hésitant vers la machine. Elle regarda à gauche, puis à droite… Personne. De toute façon, cet étage n’était pas très fréquenté, et puis ce cheval était plutôt dans un coin. Et elle n’avait aps trop de risque de croiser quelqu’un qu’elle connaissait à cette heure là. Elle monta sur le eptit cheval, mit une pièce dans al fente et mit la machine en route. Je ne sais pas si c’était les dessins animés de ce matin qui lui avait ramolli le cerveau ou quoi, mais elle était terriblement heureuse d’être sur ce cheval mécanique. Ca lui rappelait des souvenirs heureux…

Elle fut surprise quand la machine s’arrêta de tourner. Elle regarda le canasson d’un air implorant, mais il ne redémarra pas pour autant. Bon tans pis, elle mit un autre pièce et recommença son petit tour. Les pièces commencèrent à se succéder les unes aux autres. Elle devait vraiment faire pitoyable sur le cheval trois fois trop eptit pour elle en train de pleurer à chaque fois que l’engin s’arrêtait…